(note aux voyageurs)
Visiter une ville, c’est d’abord visiter ses
monuments. On ne peut échapper aux
incontournables : la tour Eiffel à Paris, le
Colisée à Rome, l’Acropole à Athènes et bien
sûr, Sainte-Sophie à Istanbul. D’accord, ils
sont inévitables. Ça ne veut pas dire que vous
ne devez pas voir autre chose. Sortir des
sentiers battus, aller à la rencontre des gens,
découvrir : c’est ce que
Istanbul Guide
+
Istanbul Insolite
vous poussent à faire. Rencontrez les habitants
d’une ville, c’est encore le meilleur moyen de
la connaître, de laisser tomber les préjugés et
les idées reçues. N’hésitez donc pas à rentrer
dans les ateliers autours du bazar, dans les
cafés de Samatya ou d’Üsküdar, d’essayer de
communiquer autour d’un verre de thé dans les
passages de Péra ou de Kadiköy. Les
Stambouliotes sont très courtois et adorent
prendre le temps de vivre. Jeunes et moins
jeunes vous accorderont toujours un moment pour
indiquer votre chemin, prendre un café avec
vous, parler de la pluie et du beau temps. Si
vous vous baladez avec vos bambins, les gens
seront à se plier en quatre pour exaucer leurs
caprices et, si ce sont vos grands-parents que
vous accompagnez, on prendra soin d’eux avec
respect. Evidemment, tout le monde ne parle pas
le français ! Mais la compréhension mutuelle ne
passe pas que par les mots. Donc lâchez un peu
les musées et les groupes du tourisme industriel
et partez à la rencontre des gens, sans oublier
qu’un Stambouliote ne fréquente pas plus
Sainte-Sophie et ses alentours, qu’un Parisien
la tour Eiffel et le Trocadéro. Sachez aussi que
le Turc moyen s’en ira plus facilement faire ses
courses à Carrefour (présent en Turquie), qu’au
Grand Bazar où se ruent les touristes. Il ne
s’agit pas de casser les belles images, mais
simplement d’avoir les pieds sur terre.
Pour vous aider à vous faire une idée sur les
Stambouliotes, nous avons dressé une série de
portraits de gens de la ville. Ce ne sont pas
des gens connus, simplement des gens tout court,
comme vous en rencontrerez certainement au
détour d’une rue, d’une échoppe ou d’un marché.

Cicek Abla, cuisinière près du Péra Palace |

Madam Marsel, regard sur Cukurcuma |

Madam Jorjet (Madame Georgette), bijoutière au grand coeur |

Madam Ifigenya, la modiste du passage Hazzopoulos |

Handan Hanim,
doux regard dans
le vieux Stamboul |

Emine Hanim, le sourire d'une restauratrice |

Madam Niki : tout son coeur pour les chats de Cihangir |

Nurdogan Bey, le rêveur du Bosphore |

Soeur Sofya, une habitante de Faik Pacha |

Vahan Usta, bouquiniste sur le trottoir |
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Madam Aniyes musicienne et bibliothécaire |

Cagan Irmak, réalisateur de cinéma |
Mete Bey,
géôlier d'une prison agréable à Galata |
Madam Dezi et Mösöy Aleks , habitants de Péra |
Mösöy Vasil
(Monsieur Basile), gardien d'église sur les remparts de Théodose |
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Fatih Bey,
maître d'école et hôtelier aux Petits-Champs |
Jaklin (Jacqueline), professeur de gym dans une école française |
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Mösyö Murat, orfèvre dans un caravansérail |

Altug Bey, confiseur-voyageur dans le marché aux Poissons |

Mehmet le violoniste du passage Aznavour |

Mehli Bey,
tisserand de la mer Noire |

Mösyö Vladimir, le charcutier de Galatasaray |
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Autres
Stambouliotes |
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Autres
Stambouliotes |
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