Istanbul : N'en rêvez plus... Allez-y !
       

 
 Şarap içtim Galata'da, sarhoş oldum Pera'da
Sto Galata tha pyo krasi, sto Pera tha methiso
 

Vieille ville de Galata


(Municipalité de Beyoğlu)

 

 

 

 
 

 


L'ancienne tour des remparts génois est devenue le symbole de la municipalité de Beyoğlu

Un des plus importants quartiers historiques d’Istanbul est celui de Galata, au nord de la Corne d’Or, dans la municipalité de Beyoğlu, nom qui désignait autrefois toute la colline incluant le quartier de Péra qui la domine. La municipalité de Beyoğlu est bien plus vaste de nos jours (voir la description détaillée).


Ville de Galata intramuros

Galata était une ville séparée de Constantinople à l’époque byzantine et jusqu'à la fin de la période ottomane. De nos jours, elle n’existe plus officiellement et elle a été divisée en sept quartiers : Arapcami, Emekyemez, Berketzade, Müeyyedzade, Kemankeş, Hacımimi et Şahkule. Les habitants continuent aussi d’utiliser les anciens noms tels que Perşembe Pazarı, Karaköy, Şişhane, Tünel, Kuledibi, etc, qui ont été supprimés lors du redécoupage des municipalités.

Les origines de Galata sont très anciennes, c’est même sur ce site que l’on a découvert les premières traces d’habitation humaine de la région remontant au cinquième millénaire avant J.C. C’est aussi à cet endroit que s’installèrent les tribus gauloises avant d’envahir l’Asie Mineure et de s’établir définitivement du côté d’Ankara (Angora) en 279-277 avant J.C. C’est une tribu gauloise, les Galates, qui donnèrent leur nom à Galata d’une part et à la Galatie (région d’Ankara mentionnée dans la Bible par la Lettre aux Galates), d’autre part.




Le Galate mourant du Musée du Capitole, Rome

Les écrits byzantins en font régulièrement mention pendant 1000 ans (!) sous le nom de Sykais Peran (Sycaena des Latins), mais il ne s’agissait qu’un d’un faubourg de pêcheurs au pied de la colline.
 

 


Gravure représentant la ville de Galata au Moyen-Age

Concessions latines avant 1204


Podestat (palais du gouverneur génois)


Remparts génois vers 1800


Monastère Saint-Benoît, église, école et dispensaire au XVIe siècle


Vue de Galata en 1632 quand Hezarfen Ahmed Çelebi s’envola de la tour avec des ailes qu’il
avait confectionné lui-même. Il toucha terre à Üsküdar, le sultan le récompensa avant de l’exiler à Alger


Campanile de la mosquée des Arabes

Couvent des derviches (à l'extérieur des remparts)

En 1261, lorsque les Paléologues récupèrent leur capitale occupée par les Croisés et les Vénitiens depuis 1204, ils eurent besoin de l’aide des ennemis héréditaires de la Sérénissime, la République de Gênes. L’alliance byzantino-génoise aboutit à une première concession accordée aux Génois pour bâtir une cité sur l’autre rive de la Corne d’Or. Un premier établissement en bord de mer, entouré d’une palissade, se développe par concessions successives, vers la colline. La Tour du Christ (actuelle Grande Tour de Galata) est implantée au point de rupture de la pente et ainsi se constitue une colonie génoise.


Remparts génois vers 1860

C’est une vraie ville occidentale, avec ses murailles, ses hautes maisons en pierre, ses rues rectilignes et parallèles, l’ensemble est ponctué d’églises, notamment Saint-Dominique (dite Saint-Paul) et Saint-François de part et d’autre de la cathédrale Saint-Michel, en bordure de la place centrale où se tient le marché. Le monastère Saint-Pierre  et Saint-Paul marque l’entrée ouest de la (première) muraille, tandis que Saint-Benoît est planté à l’entrée est. La rue principale part de la tour du Christ, passe devant les maisons patriciennes accrochées à la pente et la loggia du podestat où se réunissent les marchands, puis coupe la place de la cathédrale pour descendre jusqu’à la mer, à l’endroit le plus étroit de la Corne d’Or où s’effectue la traversée vers Constantinople. C’est l’actuelle rue Perşembe Pazarı le long de laquelle ont peut encore voir les dernières “maisons franques”, des maisons en pierre des XVIIe et XVIIIe siècles, qui étaient habités par des étrangers (des Francs), mais surtout l’ancien tribunal génois et l’ancienne prison, (XIIIe siècle).

Cette rue perpendiculaire à la mer est coupée par le second axe important de Galata qui lui, parallèle au rivage, va de la porte de l’Arsenal à la porte de Tophane (Fonderie de canon, actuel centre culturel Mimar Sinan, Beaux-Arts).

Les Génois restent spectateurs du siège de Constantinople par les Ottomans, et signent un acte de reddition qui garantit non seulement leurs personnes et leurs biens, mais leur donne aussi le droit de conserver leurs églises et leur accorde une quasi autonomie (jusqu’en 1914).


1900
Banque Ottomane

1901
Le pont

1920
Vue depuis Stamboul
 

1929
Au pied de la tour

1930
Eglises russes

1950
Place de Karaköy

1930
Le pont
 

Les Ottomans transforment peu après l’église Saint-Dominique (St-Paul) en mosquée, l’actuelle mosquée des Arabes ou Arap Camii, pour installer autour un quartier d’ouvriers des chantiers navals et surtout, les réfugiés morisques d'Espagne, mais ce sera l’unique empiètement pour longtemps, les grandes mosquées bâties de ce côté de la Corne d’Or (Sokollu Mehmet Pacha en 1576, Kiliç Ali Pacha en 1580) l’étant à l’extérieur de la muraille de Galata.

Jusqu'aux dernières années de l’Empire ottoman, Galata gardera toutes ses caractéristiques d’une ville latine, voire italienne. Une aristocratie issue de la bourgeoisie marchande s’y développe, tandis que les gens de petites conditions y vivent comme dans n’importe quelle ville occidentale. Les tavernes y sont nombreuses où le vin des vignes de Péra y coule à flot. Les cloches des églises ponctuent les occupations des Latins et les voyageurs s’étonnent de voir des processions de flagellants ou d’entendre fêter bruyamment le carnaval.
C’est là aussi qu’on installe les ambassades chrétiennes au fur et à mesure de leur arrivée dans la capitale, à l’exception de celle de l’Empereur germanique, le seul qui pourrait prétendre à l’égalité avec le sultan, qui loge à Constantinople.

Galata nous a laissé à nous autres francophones le mot galetas. A l’origine, il s’agissait des combles de la grande tour des remparts (tour de Galata). Par extension, le mot galetas désigne un logement plutôt miséreux (France) ou un local de rangement (Suisse, est de la France, Belgique), sous les combles.  


Une rue de Galata vers 1890. La charrette est tirée pas des buffles.
Sur la gauche, des tramways hippomobiles à l’arrêt


Grand'Rue de Galata vers 1890


Le pont de Galata vers 1890

Aux yeux de l’administration ottomane, Galata se présente sans doute comme un ghetto latin auquel la méfiance est de rigueur. Les malheureuses expériences byzantines ont entrainé une suspicion légitime de la part des Ottomans.

Les Levantins de Galata sont des courtiers, les intermédiaires privilégiés de l’Europe, et quand la puissance de celle-ci s’affirme, Galata cesse d’être un ghetto pour devenir le cœur économique de la ville. Les banquiers et prêteurs grecs, arméniens ou juifs du gouvernement, s’y installent tout naturellement, et quand, avec la guerre de Crimée en 1853, l’Empire ottoman est placé sous tutelle économique de l’Europe occidentale, c’est Galata qui aura sa rue des banques en même temps que la première municipalité de l’empire.


Tramway hippomobile devant la mairie, 1869

Ecole, église et hôpital Saint-Georges vers 1880

Galata vers 1920

Galata vers 1900

Nationalistes arméniens ayant attaqué la Banque
Ottomane le 26 août 1896
 

Pont de Galata vers 1890



 

Pont de Galata, 1896

Assucurazioni Generali Han, 1909

Pressée par les ambassadeurs étrangers d’établir des services municipaux dans la capitale, l’administration ottomane divise la ville en quatorze cercles et instaure une “municipalité-modèle”, pour le seul sixième cercle, c’est-à-dire Galata et Péra. Le premier conseil municipal, composé de chrétiens et de juifs, avec la participation à titre consultatif d’étrangers établis dans la ville, décide de paver les rues, de démolir les murailles et d’ouvrir une voie carrossable pour gravir la pente entre le rivage et la Grand-Rue de Péra, (l’actuelle İstiklal Caddesi). C’est sur cette rue dite des Banques, aujourd’hui Voyvoda Caddesi, empruntée par les premiers tramways hippomobiles (1869) que s’installera la Banque Impériale Ottomane, organisme franco-anglais, bientôt suivi par les autres établissements bancaires comme celui des Camondo, bordé par l’élégant escalier “baroque” du même nom qui gravit la ruelle latérale. Un funiculaire, dit aussi métro, le célèbre “Tünel” ou “tunnel”, relie depuis 1871 Galata à Péra.


Les quais vers 1900

Les postes allemandes vers 1900

Campanile de la mosquée des Arabes, années 1930

Hôtel de Police, vers 1930

Cortège de la dépouille d’Atatürk, devant la "Döyçe Bank", 1938

Kiosque de Tophane (hors les murs) vers 1915

Au début de son existence, Galata ne comptait que des quartiers latins, mais au fil du temps et de son expansion vers l’est et l’ouest avec de nouvelles murailles, des Juifs caraïtes  s’installèrent aussi du côté de Karaköy et lui donnèrent son nom (karayi köy), puis dès 1492, des Juifs séfarades venus d’Espagne du côté ouest et au sud-est de la grande tour. A l’est, dans la partie la plus récente de la ville de Galata, on y trouvait deux quartiers voués aux catholiques orientaux (Grecs uniates et Arméniens). A l’ouest, le quartier des musulmans espagnols (Morisques). Plus tard, la zone de Şişhane fut peuplée principalement par des Maronites libanais et le haut de la ville, hors les murs (quartier de Tünel), par des Juifs ashkénazes de Russie. Les Marranes dits Juifs italiens étaient aussi présents près de l’église St Pierre et St Paul où se trouve toujours leur synagogue.  


Vue de la tour sur le Bosphore. Au premier plan le lycée
français Saint-Benoît sur la gauche

Place de Karaköy dans les années 1940 avec
le Bon Marché (Bonmarşe) sur la gauche

Vue générale dans les années 1940

Lycée juif vers 1950

Eglise Surp Pirgiç en 1959

Karaköy vers 1960 avec la synagogue russe sur la gauche

Autre caractéristique occidentale, la “fuite” du centre de Galata : les premiers immeubles de rapport se déplacent de Galata à Péra (Beyoğlu), et ensuite au-delà de la place du Taksim, en laissant derrière eux des quartiers dégradés, progressivement occupés par l’artisanat et les migrants ruraux. Ce processus amorcé dès les premières années de la République est déjà accompli en ce qui concerne Galata, au cours des années 50. Toutefois, l’ancienne cité génoise conserve son site exceptionnel, sa situation de passage obligé vers la vieille ville de Stamboul, et abrite toujours les sièges des banques.


Calendrier ottoman avec des jours, des mois et
des années différents pour chaque communauté
et avec 6 types de caractères d’écriture


Pâtisserie casher


Dario Moreno posant pour une publicité du Yapı Kredi


Publicité des années 1960 pour la Maison Bourla de Galata

Jusqu’au milieu du XXe siècle, Galata n’a pas cessé d’avoir deux caractéristiques majeures : être une ville dans la ville et une ville occidentale dans une ville orientale. De nos jours, tout n’a pas disparu, mais la migration des habitants latins vers des quartiers plus commodes à vivre (Gümüşsuyu, Pangaltı, Bomonti, Nişantaşı, Şişli, etc.) a fondamentalement changé l’esprit-même de Galata.  


Maisons franques rue Perşembe Pazarı (XVIIIe)

Maisons génoises (1314)

Maison génoise 1314

Armes de familles génoises sur la porte St Antoine (XIVe)

Caravansérail Rüstem Pacha

Eglise St Pierre et St Paul

Ancienne prison génoise
 

Caravansérail Rüstem Pacha

 

Une lente réhabilitation s’est amorcée dès les années 1990. Elle n’est bien visible que depuis le milieu des années 2000 et uniquement dans la partie supérieure de Galata. La partie inférieure est encore largement consacrée au commerce, notamment à l’outillage (partie sud-ouest) et à de petits ateliers dans la partie sud-est où se tiennent aussi les commerces liés aux quais qui accueillent tout au long de l’année les passagers des croisières.


Çinili Han, Şişhane

Hôpital autrichien Saint-Georges

Eglise St Pierre et St Paul

Maison Saint-Pierre

Musée Juif (synagogue Zülfaris)

Patriarcat orthodoxe turc

Appartements Papadopoulos

Un passage de Karaköy

Ecole primaire grecque Adhokrasi

Eglise grégorienne Surp Krikor Lusavorich

Maison Saint-Pierre

Rue des Banques (Bankalar Caddesi)

Maison Asseo

Pr
ès de la tour

La partie supérieure, et notamment la zone en dessus de la tour, a connu ces dernières années un véritable engouement des classes moyennes stambouliotes. Ainsi, de nombreux immeubles ont été restaurés pour l’habitation et pour l’hôtellerie. De petits cafés, des restaurants, des boutiques et des galeries d’art se sont ouverts. Des activités culturelles sont fréquentes malgré les limitations municipales (AKP), obstacle majeur d’un véritable développement.


Une rue de Şişhane

Près de la tour

Bankalar Caddesi

Minerva Han

Escaliers Camondo

Vue générale

Coup de barre sur le pont de Galata

Bric-à-brac à Perşembe Pazarı

Place de Şişhane dominant le quartier de Kasımpaşa

Le Tünel relie Galata à Péra

Pont de Galata et Nouvelle-Mosquée

Une mouette essaie de cacher la vue depuis la tour de Galata
sur l’entrée de la Corne d’Or

Les restaurations d’immeubles commerciaux ou non, ou des lieux de cultes non-musulmans, sont pratiquement tous issues de fonds privés (la Banque Ottomane, le musée Juif, la synagogue Schneider, la Maison Camondo, le passage Salonique, l'église St-Benoît, la prison anglaise, etc.).  La municipalité (AKP), se bornant à donner des directives et à sortir des projets mégalomanes dont certains pourraient bien défigurer le quartier historique de Galata à jamais : projet du nouveau port de Karaköy ou le réaménagement des chantiers navals.


Synagogue Italienne (İtalyan sinagogu)

Musée des Derviches tourneurs (Tekke)

Ancienne église St Paul / Mosquée des Arabes

Ancienne église St Paul / Mosquée des Arabes

Eglise orthodoxe turque Saint-Jean

Rue Büyük Hendek

Synagogue Russe (Aşkenaz sinagogu)

La mosquée Souterraine (Yeraltı camii)

Mosquée Nusretiye
, Tophane

Temple protestant de Crimée
, Tünel

Eglise turque Sainte-Marie des Caffariotes

Eglise russe Saint-André

Eglise catholique latin
e Saint-Benoît

Synagogue séfarade Neve Şalom

Couvent des derviches Kadiri (Kadiri Tekkesi), Tophane

Eglise russe orthodoxe Saint-Elie

Synagogue russe ashkénaze

Temple protestant calviniste
(Tünel)

Mosquée de Sokullu Mehmet Pacha, Azadkapı

Eglise Saint-Grégoire l'Illuminateur et école Getronagan

Synagogue Schneider (Terziler sinagogu) 

Fresque du XIIIe siècle à la mosquée des Arabes, qu'un idiot
à fait recouvrir de plâtre en 2012

Lycée français de Saint-Benoît, Karaköy

Lycée français de Saint-Benoît, Karaköy

 

Appartements Doğan (Helbig)

Morceau de la chaîne qui partait du château de Galata
(Musée de la Marine, Beşiktaş)

Musée Juif
 
 

Place de la tour de Galata

Vue de la tour
 

Ancien hôpital grec

Pavillon de Tophane

Fontaine de Tophane
   
Adresses gourmandes  

Restaurant Karaköyüm

Au marché aux Poissons de Karaköy

Petit restaurant connu de Perşembe Pazarı

Les borekitas d'aubergine sont une spécialité séfarade
(Patlıcanlı Borekitas)

Une charcuterie

Café Anjel, rue Serdar-i Ekrem Sokak

Charcuterie Namlı Karaköy

Même si la façade n'est pas attirante, le restaurant Karaköy Balıkçısı est connu pour son excellent poisson

Restaurant Grifin Han avec vue sur Stamboul

Bej Kahve, dans la Cité Française

A proximité du marché aux Poissons de Karaköy,
le restaurant Akın Balık

Dans les anciennes postes françaises, un restaurant
"franc" propose des spécialités dans une ambiance
"tipik bir Fransız bistrosu"

Marquereau grillé chez Balıkci Tufan,
marché aux Poissons de Karaköy (Galata)

Les meilleures baklavas de Galata sont chez Karaköy Güllüoğlu


Fameux chocolatier
à Galata


Café-Restaurant Galata Evi, anciennes prisons anglaises
   
Hébergement romantique  

Anemon Galata Hôtel

Hôtel Galata Antique


Hôtel Georges


Hôtel Rooms Galata

 

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Quais de Galata
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Caravansérail
Rüstem Pacha
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Ancienne
école hongroise
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Sur le pont
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A St Pierre et St Paul
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Cité Française
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Ancien hôpital de la
Marine anglaise
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Banque ottomane

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Panorama de la tour de Galata

Carte de Turquie / Plan du métro

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La partie historique de Beyoğlu

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A voir à Galata : Fontaine des Tulipes, mosquée des Arabes, église St Pierre et St Paul, église St Benoît, synagogues Schneider, Russe, Italienne, Neve Shalom, musée Juif, mosquée Souterraine, escaliers Camondo, prisons anglaise et italienne, maisons franques, podestat génois, églises St Georges, St Grégoire, St Nicolas, le temple de Crimée, le patriarcat de l'Eglise orthodoxe turque, les églises russes suspendues, le passage Français, le bazar de Galata, la Tour de Galata, la porte St Georges, la maison Freige, les appartements Barnathan, le passage Salty, la maison natale d'André Chénier, la Banque Ottomane le Tünel, le marché aux Poissons de Karakôy, la maison Helbig, le Tekké des derviches tourneurs, le passage Salonique, etc.
 

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